http://www.sudouest.fr/2011/10/04/a-l-affiche-rugby-et-brassens-517330-4608.php
A l'affiche, rugby et Brassens
Jean Bonnefon et ses amis des Arts modestes vont donner deux nouvelles créations.
«Cet automne est marqué par deux événements : la coupe du monde de rugby et le 30e anniversaire de la disparition de Georges Brassens », rappelle Jean Bonnefon, qui compte bien les marquer, avec ses amis de la compagnie des Arts modestes.
Le spectacle de contes « Y a pas que le rugby dans la vie » sera créé vendredi et samedi au centre culturel de Montignac. Et « L'Affaire Brassens » verra le jour vendredi 21 octobre au centre culturel de Sarlat.
La fête à Bellecombe
Les deux complices Jean Bonnefon et Daniel Chavaroche se retrouvent pour prolonger l'aventure de « On n'est pas venu là pour en prendre », lancé il y a quatre ans, également pour la coupe du monde.
On retrouve le village de Bellecombe avec ses personnages typiques. « C'est la fête, pendant trois jours à Pentecôte. C'est toujours un grand moment. Ou il y a les phases finales du championnat de rugby, et on fait une grosse fête. Ou l'équipe ne se qualifie pas et on fait une fête encore plus grosse parce qu'on n'a que ça à faire. »
Tout un peuple prend corps avec ses histoires, toujours savoureuses.
Au tribunal
« L'Affaire Brassens » fait également suite à un premier spectacle, un hommage au chanteur qui a été donné une centaine de fois.
Cette création réunira Jean Bonnefon, son fils Pascal, Patrick Salinié et Jacques Gandon. « Brassens a chanté les voyous, les délinquants. On va lui faire un procès devant un tribunal. Nous sommes ses complices. Nous plaidons coupables. »
Les chansons, une vingtaine au total, serviront de pièces à conviction. Le président du tribunal sera Claude Villers qui a enregistré son texte et interviendra sous forme de voix off. Clin d'œil au « Tribunal des flagrants délires ».
Les spectateurs seront les jurés. De temps en temps, les accusés feront appel à des témoins, des artistes qui les rejoindront sur scène pour un soir. Parmi eux, Francis Cabrel qui jouera « Les Amoureux des bancs publics » à la mandoline. Ce sera à Chinon, le 19 novembre. On aurait préféré qu'il vienne pour la création à Sarlat.
Pratique. « Il n'y a pas que le rugby dans la vie », vendredi 7 et samedi 8 octobre à 20 h 30 salle Jean-Macé à Montignac. Tarif unique : 12 euros.
« L'Affaire Brassens » vendredi 21 octobre à 21 heures au centre culturel de Sarlat. Tarifs : 25 euros ; réduit, 23 euros ; abonné, 21 euros ; préférentiel, 15 euros ; jeune, 10 euros. Tél. 05 53 31 09 49.
A l'affiche, rugby et Brassens
Jean Bonnefon et ses amis des Arts modestes vont donner deux nouvelles créations.
«Cet automne est marqué par deux événements : la coupe du monde de rugby et le 30e anniversaire de la disparition de Georges Brassens », rappelle Jean Bonnefon, qui compte bien les marquer, avec ses amis de la compagnie des Arts modestes.
Le spectacle de contes « Y a pas que le rugby dans la vie » sera créé vendredi et samedi au centre culturel de Montignac. Et « L'Affaire Brassens » verra le jour vendredi 21 octobre au centre culturel de Sarlat.
La fête à Bellecombe
Les deux complices Jean Bonnefon et Daniel Chavaroche se retrouvent pour prolonger l'aventure de « On n'est pas venu là pour en prendre », lancé il y a quatre ans, également pour la coupe du monde.
On retrouve le village de Bellecombe avec ses personnages typiques. « C'est la fête, pendant trois jours à Pentecôte. C'est toujours un grand moment. Ou il y a les phases finales du championnat de rugby, et on fait une grosse fête. Ou l'équipe ne se qualifie pas et on fait une fête encore plus grosse parce qu'on n'a que ça à faire. »
Tout un peuple prend corps avec ses histoires, toujours savoureuses.
Au tribunal
« L'Affaire Brassens » fait également suite à un premier spectacle, un hommage au chanteur qui a été donné une centaine de fois.
Cette création réunira Jean Bonnefon, son fils Pascal, Patrick Salinié et Jacques Gandon. « Brassens a chanté les voyous, les délinquants. On va lui faire un procès devant un tribunal. Nous sommes ses complices. Nous plaidons coupables. »
Les chansons, une vingtaine au total, serviront de pièces à conviction. Le président du tribunal sera Claude Villers qui a enregistré son texte et interviendra sous forme de voix off. Clin d'œil au « Tribunal des flagrants délires ».
Les spectateurs seront les jurés. De temps en temps, les accusés feront appel à des témoins, des artistes qui les rejoindront sur scène pour un soir. Parmi eux, Francis Cabrel qui jouera « Les Amoureux des bancs publics » à la mandoline. Ce sera à Chinon, le 19 novembre. On aurait préféré qu'il vienne pour la création à Sarlat.
Pratique. « Il n'y a pas que le rugby dans la vie », vendredi 7 et samedi 8 octobre à 20 h 30 salle Jean-Macé à Montignac. Tarif unique : 12 euros.
« L'Affaire Brassens » vendredi 21 octobre à 21 heures au centre culturel de Sarlat. Tarifs : 25 euros ; réduit, 23 euros ; abonné, 21 euros ; préférentiel, 15 euros ; jeune, 10 euros. Tél. 05 53 31 09 49.
nono pour cette "petite marie" tout en fraicheur
